Adhérez au SNADEM et bénéficiez de la protection juridique !

Adhérez au SNADEM et bénéficiez de la protection juridique !

Pour vous défendre et défendre les PVP, porter vos revendications et participer au dialogue social, pour vous orienter et vous aider dans toutes les démarches qui concernent votre carrière : soutenez le Snadem-UNSA, le Syndicat des Professeurs de la Ville de Paris !

Adhérez, ré-adhérez, et faites adhérer les collègues autour de vous !

Chaque année, nos moyens d'action dépendent entièrement de vos adhésions !

Une assurance juridique professionnelle enseignant-e est incluse (Groupama) et votre adhésion est déductible chaque année à 66% de vos impôts !

Il y a 3 moyens différents pour régler votre cotisation syndicale :

• par carte bancaire en ligne

• par prélèvement

• par chèque

Concernant les paiements par carte bancaire, après vous être inscrit-e sur le formulaire ci-dessous, vous accéderez à une page dédiée pour finaliser votre paiement. Merci de suivre le processus jusqu’au bout afin de nous faciliter la saisie de votre adhésion. Contactez-nous en cas de difficulté.

Nous utilisons désormais la plateforme Stripe pour procéder au paiement en ligne par CB. C'est une plateforme d'achat en ligne classique et complètement sécurisée qui vous demandera un certain nombre d'informations habituelles pour réaliser une transaction en ligne et recevoir la facture concernée.

Attention, si le formulaire ne s'affiche pas, changez de navigateur ou vérifiez que l'antivirus de votre navigateur, si vous en avez un, ne bloque pas la fonction.

Concernant les paiement par chèque ou prélèvement reportez vous au formulaire papier téléchargeable ici.

Retrouvez le tableau complet des adhésions au SNADEM UNSA et leurs répartitions/échelons et quotité de temps de travail.

Cliquez ici pour accéder au formulaire d’adhésion

Réglez votre cotisation :

ADHÉRER

Calculez votre cotisation :

ADHÉRER

Enseignement massé de la natation : la DASCO entre deux eaux – CR audience du 09/10

CR audience DASCO/SNADEM du 9 octobre 2025

Enseignement massé de la natation scolaire

Chères collègues, chers collègues,

Nous avons été reçus, jeudi 9 octobre, par l’administration. À ce jour, celle-ci ne semble pas prendre la mesure des dysfonctionnements générés par le dispositif d’enseignement “massé”. Aucune de nos revendications n’a été satisfaite.

La DASCO renvoie inlassablement aux résultats que le groupe de travail, tout juste créé, ne devrait partager qu’en fin d’année scolaire. Nous voilà bien avancés.

La présence des PVP, 3h hebdomadaires en suivi sur les bassins, semble être la solution la plus raisonnable pour permettre de retrouver une stabilité des enseignements et garantir le quota d’EPS aux élèves (natation comprise).

De plus, il n’est pas admissible que des professeurs d’EPS interviennent 6, 8 voire 10 semaines sur un bassin au détriment des élèves de leur école.

Nous avons réitéré notre proposition d’adaptation du dispositif à l’enseignement massé uniquement pour les classes de CP, dans la continuité des stages de maternelle, et pour les autres, un retour à un enseignement distribué. Nous avons demandé à être mobilisés au maximum 2 semaines sur les bassins massés. Nous avons aussi évoqué la possibilité de mettre en place ces expérimentations lors d’actions de circonscriptions organisées par l’éducation nationale conformément aux textes. Enfin, l’expérimentation devrait selon nous ne concerner que les secteurs où les élèves sont le plus en difficultés. Encore faut-il s’accorder sur les critères communs d’évaluation pour les choisir !

La DASCO s’est engagée, une fois de plus, à transmettre nos propositions lors du prochain entretien avec la DASEN. Avec quel succès? Nous verrons bien. Une clause de revoyure a été arrêtée après les vacances de la Toussaint. Notons ici que la qualité du dialogue social ne se mesure pas à la quantité de réunions mais bel et bien à la qualité d’écoute des interlocuteurs et aux mesures qui peuvent en découler. Si l’administration tient à son crédit, il faudra qu’elle nous apporte des gages.

Les réponses de la DASCO

Protection des postes : si la DASCO a rappelé qu’elle n’avait pas l’intention de dispatcher les PVP sur d’autres écoles pour cette année car le nombre de postes au concours devrait être satisfaisant, elle n’a pas, pour autant, souhaité s’engager sur ce nombre de postes ni sur la protection des postes des collègues concernés par l’enseignement massé. Pour elle, ces ajustements ne répondent qu’aux fermetures de classes et rien d’autre. Nous avons aussi rappelé que pour nous, une fermeture de classe doit se compenser par le dédoublement des classes en REP/REP+ ou par des heures d’ateliers.

Mail du 4 juillet : le BME a bien conscience qu’il a semé le trouble. En attendant d’être réécrit dans les prochains jours, la DASCO propose de solliciter directement le BME si des questions restaient en suspens. Elle s’est engagée à y répondre individuellement. Vous avez dû d’ailleurs recevoir leur dernière communication à ce sujet. Encore une belle usine à gaz ou comment gagner du temps !

En conclusion, si vous avez donc des questions, des interrogations pour “redonner les heures”, si vous pensez que votre situation n’est pas tout à fait dans les “clous”, que la situation pose des problèmes dans les équipes, des tensions, si vous souhaitez n’intervenir que sur votre demi-journée et non sur les 2 semaines… nous vous proposons de solliciter, le BME comme il se doit, en nous mettant (de préférence) en copie (CCI) et ensuite de partager, aux PVP de votre bassin et à nous, les réponses qui vous seront apportées. Nous nous interrogeons sur la possibilité d’éventuelles réponses à géométrie variable qui pourraient, peut-être, déboucher sur des discordes entre PVP. Restons donc vigilants et soudés. La ville a décidément bien du mal à se positionner alors que l’éducation nationale fait cavalier seul.

La position des PVP du 17ème :

Pour information et exemple : les PVP du bassin Bernard Lafaye (17è) se sont mis en grève cette semaine. Par conséquent, les PE n’ont pas souhaité se rendre sur les bassins pour des questions de sécurité. Il n’y a donc pas eu de natation pour les élèves des écoles attachés à ce bassin.

Nous tenons à remercier tous ces collègues qui constituent le fer de lance de notre résistance. D’ailleurs, à l’annonce de cette mobilisation, le BME s’est empressé de vérifier, devant nous, les statistiques et le nombre de grévistes du jour. C’est pour dire que les chiffres leur parlent beaucoup plus que les problématiques de terrains de leurs agents.

Nous comprenons, ici, que l’expérimentation ne s’arrêtera pas sans une forte mobilisation.

Soyez certains que si cette expérimentation venait à être généralisée, ce sont bien les conditions de travail de l’ensemble des PVP EPS et des autres disciplines qui seraient dégradées très prochainement. À nous de savoir ce que nous voulons !

« Seul, on va plus vite, ensemble on va plus loin ! »

Bon week-end.

Le SNADEM

Les actualités du SNADEM

Les actualités de l’UNSA