Adhérez au SNADEM et bénéficiez de la protection juridique !

Adhérez au SNADEM et bénéficiez de la protection juridique !

Pour vous défendre et défendre les PVP, porter vos revendications et participer au dialogue social, pour vous orienter et vous aider dans toutes les démarches qui concernent votre carrière : soutenez le Snadem-UNSA, le Syndicat des Professeurs de la Ville de Paris !

Adhérez, ré-adhérez, et faites adhérer les collègues autour de vous !

Chaque année, nos moyens d'action dépendent entièrement de vos adhésions !

Une assurance juridique professionnelle enseignant-e est incluse (Groupama) et votre adhésion est déductible chaque année à 66% de vos impôts !

Il y a 3 moyens différents pour régler votre cotisation syndicale :

• par carte bancaire en ligne

• par prélèvement

• par chèque

Concernant les paiements par carte bancaire, après vous être inscrit-e sur le formulaire ci-dessous, vous accéderez à une page dédiée pour finaliser votre paiement. Merci de suivre le processus jusqu’au bout afin de nous faciliter la saisie de votre adhésion. Contactez-nous en cas de difficulté.

Nous utilisons désormais la plateforme Stripe pour procéder au paiement en ligne par CB. C'est une plateforme d'achat en ligne classique et complètement sécurisée qui vous demandera un certain nombre d'informations habituelles pour réaliser une transaction en ligne et recevoir la facture concernée.

Attention, si le formulaire ne s'affiche pas, changez de navigateur ou vérifiez que l'antivirus de votre navigateur, si vous en avez un, ne bloque pas la fonction.

Concernant les paiement par chèque ou prélèvement reportez vous au formulaire papier téléchargeable ici.

Retrouvez le tableau complet des adhésions au SNADEM UNSA et leurs répartitions/échelons et quotité de temps de travail.

Cliquez ici pour accéder au formulaire d’adhésion

Réglez votre cotisation :

ADHÉRER

Calculez votre cotisation :

ADHÉRER

Coronavirus COVID-19 à Paris : CHS-CT exceptionnel Académie de Paris via UNSA Education

Une cellule de crise a été installée au Rectorat à contacter via [ce.drh@ac-paris.fr.->mailto:ce.drh@ac-paris.fr]

Source d’information fiable [https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus->https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus]

Les informations suivent la voie hiérarchique dans un sens comme dans l’autre.

Un point sur le stade 2 puis sur l’éventualité d’un stade 3 ont été faits.

Informations stade 2

Les mesures « barrières » préconisées sont individuelles et non collectives. Il s’agit de se laver les mains très régulièrement. En revanche, le port du masque est inutile sauf pour les malades.

Les cas confirmés, au sein des établissements scolaires, à Paris sont tous connus et suivis. Le DASEN s’est même déplacés dans certains de ces établissements. Les personnels les plus fragiles ont fait valoir leur droit de retrait ou se sont arrêtés.

Un rappel du droit de retrait a été fait

– C’est un droit individuel et non collectif

– Le salarié doit prouver et justifier que sa demande est légitime auprès de l’administration et qu’il est exposé à un risque réel (certificat médical, pathologie avérée et certifiée par un médecin, …)

– Il doit aussi prouver que l’administration ne respecte pas les règles de sécurité et qu’il est véritablement exposé à un danger éminent.

Le médecin conseil a confirmé que :

– Les personnes malades ont été reconnues comme étant des « cas confirmés » après avoir subi un prélèvement qui s’est avéré positif.

– Il existe aussi, ce que l’on appelle les « cas contact », c’est-à-dire les personnes qui ont fréquenté un « cas confirmé », mais cette personne ne pourra, en aucun cas, contaminer d’autres personnes. Il n’y a aucun risque.

– Tous les cas déclarés ont été traités dès lors que la déclaration a eu lieu.

– Toute personne devant être mise en quatorzaine se verra donner une autorisation d’absence sans jour de carence

– S’il y a le moindre risque de contagion, l’ARS, Agence Régionale de Santé, fera des préconisations auprès des personnes concernées.

– Tout médecin peut prescrire un isolement du malade, sans passer obligatoirement par l’ASR.

La priorité pour le Rectorat est à chaque fois de vérifier les informations diffusées.

Cas de fermeture

Le virus ne frappe pas sévèrement les enfants, sauf si ces derniers
sont en bas âge ou fragilisés par des problèmes de santé. C’est pourquoi des
consignes ont été données aux différents types d’établissements scolaires

o Ecoles maternelles : 1 cas = école fermée,

o Ecoles élémentaires : 1 cas = classe fermée, 2 cas = école fermée

o Collèges et lycées : 1 cas ou plus = classe fermée

C’est aux autorités académiques, via les directeurs d’école, principaux, proviseurs, s’ils sont joignables, de prévenir les parents de la classe ou de l’établissement.

Pour les lycées, en ce qui concerne les « journées portes ouvertes », le Recteur recommande de les reporter. Cependant, il n’existe aucune interdiction à ce jour. C’est au chef d’établissement de décider.

Cas particulier : établissements d’accueil de bureaux de vote.

Madame HIDALGO (maire) a demandé que les écoles maternelles et primaires soient fermées lundi afin de procéder à la désinfection des locaux.

Le problème se pose également pour les collèges et lycées qui sont « bureaux de vote ». A ce jour, rien n’est prévu, sinon la désinfection habituelle qui se déroule dans la nuit de dimanche à lundi.

Voyages scolaires/Sorties scolaires

Les voyages scolaires sont annulés de façon générale et les déplacements en transports en commun sont fortement déconseillés.

En revanche, il n’est pas interdit de visiter des musées ou des expositions.

Universités

Pour les universités, les étudiants, mineurs ou majeurs, sont considérés comme majeurs dans le supérieur mais relèvent des règles de l’établissement d’où ils dépendent.

Les déplacements à l’étranger sont fortement déconseillés mais pas interdits s’il s’agit de pays européens, et cela pour des raisons pratiques de rapatriement en cas de maladie.

Les étudiants en section internationale ou en Erasmus peuvent, si c’est en cours, à continuer leur parcours, mais ceux qui ne sont pas encore partis, restent là.

Il ne faut, cependant, en aucun cas, céder à la panique en prodiguant des conseils irrationnels, comme par exemple, interdire une salle de cours à des étudiants, dans laquelle a séjourné un étudiant malade.

Prévisions si passage au stade 3 :

Au cas où la situation s’aggraverait et que nous serions obligés de passés au stade 3, il est prévu :

< De renforcer les protections des barrières (dit « cluster ») en :

  •  Fermant les établissements dans la zone déterminée,
  •  Interdisant les rassemblements inférieurs à 1000 personnes en lieux clos, …
  •  Organisant le travail à distance,
  •  Interdisant les déplacements en transports en commun, à l’étranger, …

Et ce, de façon drastique.

< D’organiser une continuité dans les activités, qu’elles soient pédagogiques ou administratives, en ayant recours au télétravail ou à la formation par le numérique (« l’école à la maison », CNED, vidéo conférence, cf. les corps d’inspection)

Sur le plan pédagogique, le problème se pose pour les élèves qui ne disposent pas d’un accès internet permanent chez eux. Des solutions sont à l’étude et des réponses sont en cours auprès des corps d’inspection.

Certains établissements ou services ne sont pas non plus équipés.
Certaines formations ne peuvent être dématérialisées.

Au plan administratif, chaque établissement doit être en mesure de continuer « l’administratif ». Au Vislto, tout le monde pourra être en télétravail si nécessaire. Le personnel qui ne possède pas de matériel informatique pourra s’en procurer.

Marie-Catherine Adloff et Jean-Claude Devaux,
représentant.e.s UNSA Education au CHS-CT de Paris

Les actualités du SNADEM

Les actualités de l’UNSA